La présence des papillons dans les parcs urbains est plus influencée par ce qu’il y a autour du parc (et notamment par les barrières aux déplacements que peut constituer un bâti amalgamé et par l’isolement aux zones naturelles) que par la taille du parc … une idée de base de l’écologie « plus c’est grand, plus il y a d’espèces » est contredite par cette étude réalisée à Marseille.